Le marché des courtiers subit une métamorphose flagrante en ce moment. Un contexte qui se justifie par la réduction des taux d’intérêt ainsi que l’accroissement inévitable du marché de courtage. Néanmoins, le secteur du crédit doit anticiper un autre bouleversement : la valorisation des courtiers gratuits. D’ailleurs, les emprunteurs cherchent plus d’informations sur la différence entre ces deux modes de rémunération, disponible ici.
Définition d’un courtier gratuit
Un courtier gratuit ne taxe pas ses honoraires par l’intermédiaire de son client, mais via la banque directement. Généralement, la prime s’élève à 1 % du montant demandé par l’emprunteur. Qu’un courtier porte le titre gratuit ou payant, la banque leur verse toujours une commission. Cela dit, les rémunérations sont plafonnées suivant la pratique interne de l’établissement financier. woluwe-assurfinance.be délivre plus d’informations sur le sujet.
Les différences notables entre un courtier gratuit et un courtier payant
L’écart entre le mode de rémunération et de facturation d’un courtier gratuit et un courtier payant se trouve dans les frais de dossier. Comme susmentionnés, les deux obtiennent toujours une commission par ordre de la banque. Par contre, le courtier payant établit une facture en sus sur la constitution du dossier de l’emprunteur.
Plus explicitement, le courtier payant facture en deux fois les frais de composition de dossier : à la banque et à son client. Le montant se calcule en pourcentage pour certains, entre 1 et 2 % du montant du crédit généralement ou sur les frais de mandat de recherche. Et pour d’autres, ils imposent une solde moyenne par dossier.
Quid de l’efficacité d’un courtier payant
La crédibilité d’un courtier payant est mise en doute lorsqu’on constate que le service proposé semble similaire. Cela dit, pourquoi le réseau de courtier payant existe-t-il encore en France ?
Les courtiers gratuits manquent de visibilité
La réputation des courtiers gratuits ne se forge pas encore sur le marché des courtiers. Malheureusement, ces derniers ne peuvent se contenter que du mode de communication « bouche-à-oreille » pour développer leur activité. C’est peut-être une méthode efficace et à moindre coût, mais ne leur offre pas l’occasion de dompter le marché à l’échelle nationale.
Les courtiers payants quant à eux misent une grande partie de leur budget dans la promotion de leur activité. Le montant s’évalue à même les millions d’euros. Cette pratique leur donne l’opportunité de dominer complètement le marché.
Les critères de choix d’un courtier
Un courtier efficace se juge sur deux critères fondamentaux : la validation du prêt et le bon taux de crédit.
Qu’il soit payant ou gratuit, un courtier dispose d’un bon nombre de banques potentielles à leur actif. La capacité d’un opérateur financier à négocier un crédit compte énormément pour le client. D’ailleurs, la banque juge le document de prêt proposé par son mandataire par sa qualité et la manière de présenter votre dossier au créditeur. La grille des taux est également similaire pour les deux entités, sauf que l’institution offre une opportunité aux emprunteurs de qualité.
En somme, la différence flagrante entre un courtier payant et un courtier gratuit demeure dans la perception de leur rémunération. La qualité de service proposé est équivalente en général.